A la fin du VIIIe siècle, Charlemagne a largement contribué à leur entrée dans les jardins des apothicaires
impériaux et monastiques en qualité de plantes utiles. Dans son capitulaire De Villis, un acte législatif,
il recommandait de cultiver des roses parce qu'on utilisait les pétales de la rosa gallica pour se gargariser
ainsi que pour les bains en cas de blessures purulentes et d’yeux irrités. De nos jours,
les spécialistes des plantes médicinales affirment encore que la rosa centifolia et de la rosa gallica
qu’elles sont bonnes contre le rhume des foins et qu’elles apaisent les maux de tête.